Tipi « technique d’identification sensorielle des peurs inconscientes » est une approche simple, rapide et très efficace pour désactiver les difficultés émotionnelles et comportementales.
Pour toutes les difficultés émotionnelles et comportementales éprouvées au quotidien et plus particulièrement pour les phobies, les angoisses, les inhibitions, les états dépressifs, l’irritabilité…
Vous souhaitez faire une séance ?
Si vous souhaitez faire une séance d’identification sensorielle des peurs inconscientes pour une difficulté émotionnelle ou comportementale, le point de départ “obligé” d’une séance passe par le choix d’une situation réelle, concrète, que vous avez vécue récemment et parfaitement représentative de la difficulté émotionnelle ou comportementale que vous voulez voir disparaître.
La séance vise à la rémission complète de la difficulté qui motive la rencontre. Elle dure trente minutes en moyenne. Un profond soulagement fait généralement partie de la suite immédiate de la séance, mais il peut être accompagné d’un besoin de tranquillité et d’intimité, quelquefois d’une grande fatigue… Aussi, il est conseillé de prévoir une activité minimale après la séance. Dans certains cas, une ou deux autres séances peuvent s’avérer nécessaires.
Une étude menée sur 300 personnes…
Entre 2003 et 2007, Luc Nicon, le fondateur de la démarche, a réalisé une étude portant sur 278 personnes en souffrance émotionnelle. Pour ces personnes atteintes de phobie, d’angoisses, d’inhibition, de dépression ou d’irritabilité, seulement 7 ne sont pas totalement venues à bout de la difficulté qui les handicapait. Dans 79% des cas, cette “désactivation” est intervenue en une seule séance. Les 21% restant n’ont que très exceptionnellement nécessités plus de 2 séances pour obtenir le même résultat.
Ces chiffres peuvent paraître provocateurs tant ils sont incroyables… pourtant, aujourd’hui, plus de 250 professionnels formés à Tipi confirment quotidiennement ces résultats.
La technique…
Lorsqu’une situation à l’origine d’une réaction de peur est revécue, cette dernière est désamorcée. Encore faut-il que ce “revécu” ne soit pas une projection intellectuelle mais bien une réalité sensorielle.
Autrement dit, c’est à travers son ressenti physique et non avec son intellect qu’il faut rechercher l’origine de la peur.